|
| | Que sont-ils devenus ? | |
|
+13nantaisdu68 R1 AJ44 tonypoto11 Brigade Odet nantes63 lamygos Le Phénix Max Darkanary Gotenian barbapapa canari56 17 participants | |
Auteur | Message |
---|
barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Jeu 28 Oct - 12:05 | |
| - Spoiler:
La carrière d'Ivan Klasnic prend une tournure de plus en plus chaotique. L'ancienne star du Werder Brême, après un passage remarqué (sic) au FC Nantes, fait aujourd'hui partie de l'effectif des Wanderers. 4 matchs pour 131 minutes de jeu plus tard, difficile de dire que son aventure anglaise est une réussite. Mais voilà, en plus, que les affaires de moeurs s'en mêlent.
A en croire The Sun, Klasnic aurait en effet été arrêté par la police britannique et interrogé par celle-ci dans la journée de lundi. En cause, le viol d'une fille de 17 ans, dans un appartement du centre-ville de Manchester, selon un porte-parole de la police de Manchester. Klasnic, après avoir été interrogé, a été libéré sous caution jusqu'au 1er novembre, en attendant que l'enquête suive son cours.
Le 10 Sports
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Jeu 28 Oct - 12:16 | |
| - Spoiler:
Beauvue, le « super sub », qui ne veut pas le rester
Confiné pour le moment dans un rôle de joker, le Guadeloupéen espère démontrer qu'il vaut mieux que ça. Dès demain à Angers ?
On se souvient de Ole Gunnar Solskjaer, l'attaquant danois de Manchester United, éternel remplaçant mais terriblement efficace. Il en avait hérité un surnom, « Super sub », le super remplaçant, après avoir notamment inscrit un quadruplé en 12 minutes ou avoir donné la victoire à son équipe en Ligue des champions en 1999. Toutes proportions gardées, l'Estac possède aussi le sien, avec Claudio Beauvue. Deux buts inscrits et des entrées (7) souvent fracassantes, comme contre Boulogne : « Il sait très bien lire le jeu de l'adversaire et il a un punch terrible, détaille Jean-Marc Furlan. C'est donc un excellent joker. »
Les qualités requises pour faire un bon entrant ? « J'ai progressé au niveau de la finition et puis il y a une entente avec les milieux de terrain qui date de l'année dernière. Ils savent me donner des bons ballons, explique Beauvue. Mes coéquipiers m'encouragent et savent que je peux apporter quelque chose. » Dans le détail, cela donne 10 matches joués mais seulement 3 titularisations pour 331 minutes.
Les entraîneurs aiment bien avoir sur le banc un joueur capable de renverser le cours d'un match. Mais à 22 ans, le Guadeloupéen rêve évidemment à autre chose qu'un rôle de joker de luxe, d'autant qu'il était plus ou moins dans cette configuration pour ses débuts en L2, il y a deux ans et demi. Joueur « moteur » la saison dernière, il est un de ceux qui ont perdu un peu de leur statut. Le système en losange ne lui est pas favorable. Et servir de point d'appui en attaque n'est pas son point fort, lui qui évolue le plus souvent « dans la profondeur ».
« Trouver son style »
Pour autant, son horizon n'est pas fermé, selon Furlan : « Claudio doit s'efforcer d'être plus constant. Pour moi, il reste davantage un attaquant, un joueur de rupture et de finition. Même en jouant sur un côté. On doit lui trouver un certain style de jeu. » « À moi d'être performant si on doit faire appel à moi sur un côté ou comme deuxième attaquant, notamment en gardant mieux le ballon », assure ce garçon robuste qui ne manque jamais un entraînement. Demain, Claudio Beauvue devrait être titulaire à Angers. Une occasion à saisir pour le recalé du FC Nantes, qui n'a jamais rien eu dans la facilité : « Je ne suis pas du genre à me décourager, je viens de loin. Mon style, c'est plutôt d'être impatient, parce que j'ai une énorme envie de jouer. »
Est Républicain
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Sam 13 Nov - 5:14 | |
| - Spoiler:
A la traîne dans le championnat de Ligue 1, l'AS Nancy Lorraine va devoir se passer de son avant-centre tahitien pour le déplacement à risque en terres girondines : Marama Vahirua a en effet obtenu de ses dirigeants une dispense exceptionnelle après une... longue nuit passée à la maternité !
L'AFP, reprenant un billet publié sur le site officiel du club, se fait l'écho de l'heureuse nouvelle : l'épouse du joueur tahitien, qui explosa sous les couleurs des Canaris du FC Nantes il y a une dizaine d'années avant de faire les beaux jours de l'OGC Nice et du FC Lorient, a donné naissance dans la nuit de jeudi à vendredi au quatrième enfant du couple, un petit garçon prénommé Maehiti.
L'attaquant de poche connu pour ses coups de pagaie célébrant ses buts inscrits, cousin de l'ancien international français de l'AJ Auxerre Pascal Vahirua, peut donc se consacrer pleinement à sa joie pendant que ses coéquipiers tenteront de résister malgré un effectif amputé - quatre joueurs cadres indisponibles. Ensuite, il faudra revenir ramer avec les autres !
Pure People
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 14 Nov - 14:22 | |
| - Spoiler:
Faé : "On joue le titre et le maintien"
Joueur confirmé du championnat, plaque tournante du milieu de terrain niçois, international ivoirien, Emerse Faé est tout cela à la fois. Au moment de se déplacer à Lyon avec ses coéquipiers, le milieu défensif formé à Nantes revient pour Football.fr sur le début de saison de son club, ses objectifs collectifs et personnels, sa sélection nationale ou encore son club formateur.
Football.fr: Emerse, avec 4 victoires, 4 nuls et 4 défaites après 12 journées, quel bilan pouvez-vous tirer du début de championnat de l'OGC Nice? Emerse Faé: C'est vrai qu'on avait bien commencé avec cinq matches sans défaite d'entrée. On avait réussi à tenir tête à de très bonnes équipes du championnat comme Lille. Après ce bon début de saison, c'est vrai que l'on a connu une période un peu plus délicate où l'on n'arrivait plus à gagner les matches. La défaite à Sochaux et le revers à domicile contre Rennes nous on fait du mal, donc c'est vrai que le bilan est mitigé à ce stade de la saison.
"25 ou 28 points à la trêve"
Comme vous le dites, vous venez de perdre beaucoup de rencontres (5 sur les 8 dernières). Comment expliquer cette baisse de régime? On a commencé avec un état d'esprit de guerriers, sur la lancée de la fin de saison dernière. On avait eu une année délicate et personne n'avait envie de revivre ça. Du coup on était tous à 200% lors des premières journées de championnat, on avait du mouvement et de l'engagement dans le jeu. Nous nous sommes sûrement reposés sur nos lauriers et on a un peu perdu ces qualités, nos fondamentaux. La sanction a été immédiate.
Malgré cette mauvaise période, vous êtes toujours à trois points du podium, mais également à trois points de la zone rouge. Comment jugez-vous ce championnat ultra serré? Il est serré pour le moment. Les groupes n'ont pas été créés. Je disais ce matin à mes coéquipiers pour rire que nous jouons le titre et le maintien. Nous devons continuer sur la lancée de notre dernier match (victoire face à Toulouse 2-0) si nous voulons accrocher le bon wagon. Je pense qu'à la trêve, les écarts seront formés entre les équipes qui jouent le maintien et celles qui jouent l'Europe. A nous de prendre le bon train.
Vous êtes-vous fixé un objectif comptable d'ici à la trêve hivernale? Il reste sept matches. On s'était fixé un objectif collectif sur les huit derniers. Nous avons bien commencé avec cette victoire sur Toulouse. Il faut continuer comme ça. Nous aurons à faire face à des adversaires de qualité et à d'autres plus à notre portée. Ce serait bien d'arriver à la trêve avec 25 ou 28 points.
"Le public de Gerland peut se retourner contre Lyon"
Vous allez jouer dimanche à 20h45 à Lyon. Malgré le début de saison moyen de l'OL, est-ce un adversaire que vous prenez très au sérieux? Oui, c'est sûr. Vous savez, on à le même nombre de points qu'eux, alors vous imaginez le début de championnat catastrophique que c'est par rapport à leurs objectifs de début de saison. Aujourd'hui nous sommes a égalité de points, mais quand on voit leur parcours en Ligue des champions, on sait que c'est une équipe qu'il faut respecter et même craindre car, même blessée, elle est capable de battre n'importe qui. Ils seront favoris et auront très envie de gagner ce match. Nous ne nous attendons pas du tout à un match facile.
Avec quel plan de jeu allez-vous évoluer à Gerland? Nous n'avons pas pris de but lors du dernier match, cela ne nous était pas arrivé depuis très longtemps. C'est le premier objectif: renouveler cette performance. Et c'est vrai que lorsque l'on regarde les derniers matches de Lyon, on se rend compte qu'à partir du moment où l'adversaire y croit vraiment, il a sa chance. Il faut réussir la meilleure entame de match possible et, au vu du contexte dans lequel ils évoluent en ce moment, leur public pourrait se retourner contre eux.
Vous avez beaucoup joué avec Toulalan à Nantes. Est-ce que vous vous appelez avant ce genre de rencontre? Pas du tout. C'est vrai qu'on a été formés en même temps et qu'on a joué ensemble en pro. C'est quelqu'un que je respecte mais avec qui je n'ai pas particulièrement d'affinités. Nous avons le même agent mais nous n'avons même pas les coordonnées l'un de l'autre.
"Beaucoup de belles choses à vivre avec les Éléphants"
Cet été vous n'aviez pas fait partie des 23 Ivoiriens sélectionnés pour la Coupe du monde, mais vous faites partie des plans du nouveau sélectionneur. Est-ce un facteur important dans votre carrière? C'est normal, c'est toujours une fierté de représenter son pays. C'est vrai que j'ai été énormément frustré et déçu de ne pas être appelé pour le Mondial, alors que j'avais largement ma place dans les 23. C'est une page que j'ai tourné depuis le début de la saison. J'ai eu une petite réflexion pour savoir si j'allais arrêter ou pas, mais je suis encore jeune et j'ai beaucoup de belles choses qui m'attendent avec les Éléphants.
En Côte d'Ivoire, contrairement à ce qui se fait souvent en Afrique, c'est un ancien joueur du crû, François Zahoui, qui a été nommé sélectionneur. Auriez-vous un mot à dire sur lui? C'est un entraîneur qui a fait ses preuves en tant que joueur et en tant qu'éducateur. Il a des compétences et connaît le football. C'est l'un des premiers Africains à avoir joué en Italie, ce qui impose le respect. C'est une référence. Il a ses idées et sait où il va. C'est un bosseur. En tout cas, c'est une bonne chose d'avoir pris un local pour prouver qu'il n'est pas nécessaire de faire appel à un entraîneur renommé pour que cela fonctionne.
D'un point de vue personnel, à part une saison à Reading où vous avez peu joué, vous avez toujours beaucoup joué, mais peu connu les blessures. Ne ressentez-vous pas de la fatigue ou de la lassitude physique? Je suis encore jeune, j'ai 26 ans. Je ne me pose pas ce genre de questions. J'ai tout de même connu deux phlébites qui m'ont arrêté trois mois à chaque fois. Je fais très attention à mon hygiène de vie, justement pour éviter ce genre de problème.
Avec le recul, gardez-vous un bon souvenir de Reading? Le fait d'avoir aussi peu joué (8 matches) ne gâche-t-il pas un peu le bilan? C'est un bon souvenir. J'ai découvert autre chose. Reading n'est qu'à 20 kilomètres de Londres. Au niveau culturel, c'était une expérience enrichissante. Après, il est vrai que le manque de compétition n'était pas une très bonne chose. J'étais conscient du risque de ne pas beaucoup jouer en partant. Maintenant, il y a certaines erreurs que je ne referai plus.
"Nantes devrait être un grand club européen"
Aujourd'hui, quelques années après cette expérience, vous êtes devenu un joueur confirmé de notre championnat et la plaque tournante du milieu de terrain niçois. Avez-vous établi un plan de carrière pour évoluer à moyen terme dans un club de plus haut standing? C'est l'objectif de tous les joueurs de football. Personnellement, j'ai l'ambition de rejouer des matches de Coupes d'Europe, mais je n'ai aucun timing pré-déterminé. J'ai juste envie d'être prêt, pas de partir pour partir. Cela se passera le jour où je le mériterai. Si je suis bon, les bonnes propositions arriveront.
Pour terminer, un petit mot sur le FC Nantes. Vous êtes né et avez été formé dans cette ville. Que vous inspire la situation actuelle du FCN? C'est dommage parce que lorsque je regarde ce club, son histoire, ses infrastructures, le jeu à la nantaise et que je le vois sur la pente descendante en Ligue 2, ça me fait de la peine. Je suis persuadé qu'il y a moyen d'en faire un grand club, même au niveau européen. J'ai l'impression qu'ils ont pris conscience de leurs erreurs et qu'ils font en sorte de rectifier le tir, c'est une bonne chose.
Foot.fr
on a quand même formé qq joueurs potables | |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Jeu 18 Nov - 18:47 | |
| - Spoiler:
Que devenez-vous Jean-Paul Bertrand-Demanes ? L’ancien gardien nantais (1969-1987) devenu chef d’entreprise se raconte. Et parle du FC Nantes d’hier et d’aujourd’hui.
Comment se déroule votre reconversion depuis la fin de votre carrière en 1987 ? « Elle se passe bien. J’ai créé deux sociétés (BDM consultants et FPI) dans l’immobilier et la gestion de patrimoine dans la région nantaise. Mon fils Mathieu m’a rejoint en 2002. J’envisage d’embaucher une assistante et d’acquérir de nouveaux bureaux en centre-ville. Le fiston se prépare à reprendre les rênes. Je vais m’effacer petit à petit. J’ai eu un cancer en début d’année et j’ai suffisamment d’argent pour arrêter de travailler. Mais je serai toujours là pour le seconder. »
N’avez-vous jamais songé à rester dans le milieu du foot ? « Il était prévu que je reste au FC Nantes après ma carrière de joueur, mais on ne s’est finalement pas mis d’accord avec le président de l’époque, Max Bouyer… »
Quel poste deviez-vous occuper ? « Je devais seconder «Bud» (Robert Budzynski, alors directeur sportif) avec la perspective de lui succéder un jour. Mais je n’ai aucun regret. Le foot ne me manque pas. »
Le fait de voir le FCN en Ligue 2 doit vous attrister… « Comme tout le monde, je préférerais que le club soit en Ligue 1. Mais c’est impossible avec les gens qui se sont succédé à sa tête depuis une dizaine d’années ! Certains dirigeants ont décrété que tout ce qui avait été fait avant eux était de la merde et annoncé qu’ils allaient montrer comment on gérait un club de foot. Résultat, on est allé droit dans le mur. »
Que préconisez-vous ? « Il faut faire table rase et revenir aux fondamentaux, en s’appuyant sur le centre de formation et en inculquant le fameux jeu à la nantaise. »
On vous sent amer… « C’est décevant pour la ville et le club. Je ne me reconnais plus dans le foot d’aujourd’hui. Je ne vais plus aux matches sauf quand on m’invite. L’état d’esprit a changé. C’était plus simple à mon époque. On partageait des moments exceptionnels avec le public et avec la presse. Nantes était réputée pour ses petits Lu et son équipe de foot. Je me souviens même avoir vu un poster du FCN dans une cabane, aux Maldives ! Maintenant, quand je vois tous les gens qui gravitent autour des clubs, ces zones mixtes pour la presse […], on a l’impression d’avoir affaire à des stars du rock. »
Avec Henri Michel, vous détenez le record de nombre de matches (532) disputés en championnat avec les Canaris. Quel est votre meilleur souvenir ? « C’est la globalité de ma carrière. On se régalait sur le terrain, on produisait du jeu et, en plus, on gagnait des titres ! Si je dois ressortir une équipe, ce serait celle de 1982-1983. Sans doute la plus belle de l’histoire du FCN. On pratiquait un football de rêve. Pour en revenir au record de matches, je crois même que j’en ai joué 534 selon mes calculs. »
Quel entraîneur vous a le plus marqué ? « Arribas était un amoureux du beau jeu. Il m’a fait débuter au plus haut niveau. Suaudeau avait parfois un caractère de cochon (!) mais c’est un connaisseur hors pair du foot. Je n’oublie pas Vincent. Il m’a moins marqué sur le plan technique mais il était extra sur le plan humain. »
Et si vous deviez citer un joueur ? « Henri Michel. J’ai fait toute ma carrière avec « Mickey ». On partageait même notre chambre en déplacement. C’était un leader charismatique. »
Presse-Océan
| |
| | | nantes63 Staff
Nombre de messages : 15786 Age : 37 Localisation : Auvergne Club et Joueur préférés : nantes - Clermont - Totti - Kaka - Napo Nalaga Supporter depuis : toujours Date d'inscription : 03/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 28 Nov - 12:56 | |
| - Citation :
- Football (CFA) : Da Rocha a signé à Carquefou
Sans club depuis cet été, Frédéric Da Rocha (36 ans) s'est finalement engagé avec l'USJA Carquefou, où évolue son ami Sébastien Le Paih. L'ex-Canari a fait ses débuts (victorieux) à Fontenay (1-0).
Presse-Océan | |
| | | AJ44 Poussin
Nombre de messages : 2023 Age : 41 Localisation : Nantes Club et Joueur préférés : Nantes et Niort Date d'inscription : 15/08/2008
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 28 Nov - 15:14 | |
| Ah le vlà de retour au bercail ! Je sais pas pourquoi, vendredi soir, je pensais à lui justement, et je me disais qu'il allait certainement bientôt arrêter et qu'il ferait son "jubilé" à la Beaujoire, naturellement ! | |
| | | Le Phénix - 17 ans
Nombre de messages : 14711 Age : 33 Localisation : Jur-Asik-Park Club et Joueur préférés : Barbapapa Date d'inscription : 18/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 28 Nov - 15:22 | |
| Il n'y a pas Savinaud qui joue là bas aussi? | |
| | | canari56 - 13 ans
Nombre de messages : 5636 Age : 44 Localisation : Vannes Club et Joueur préférés : nantes, vannes oc, loko, pédros, ouédec, ndoram, ferri, gourvennec, landreau, sibierski, fabbri, yepes, armand, toulalan, vahirua, carriére, moldovan, da rocha Supporter depuis : 1994 Date d'inscription : 14/05/2009
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 28 Nov - 15:47 | |
| - Le Phénix a écrit:
- Il n'y a pas Savinaud qui joue là bas aussi?
en février,il avait signé pour finir la saison là bas mais je ne sais pas si il a prolongé pour cette saison... | |
| | | canari56 - 13 ans
Nombre de messages : 5636 Age : 44 Localisation : Vannes Club et Joueur préférés : nantes, vannes oc, loko, pédros, ouédec, ndoram, ferri, gourvennec, landreau, sibierski, fabbri, yepes, armand, toulalan, vahirua, carriére, moldovan, da rocha Supporter depuis : 1994 Date d'inscription : 14/05/2009
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Lun 29 Nov - 17:10 | |
| - Citation :
- L'Olympiakos veut Abdoun
Djamel Abdoun pourrait ne pas rester très longtemps à Kavala, actuel quatrième du Championnat grec. Très en vu depuis le début de la saison, l'international algérien, arrivé de Nantes l'été dernier, intéresse l'entraîneur espagnol de l'Olympiakos, Ernesto Valverde, séduit par sa qualité technique. Meilleur passeur du Championnat (4 passes), à égalité avec l'Espagnol Albert Riera, le milieu de terrain n'a pas raté une rencontre depuis le coup d'envoi de la saison et a déjà été élu «MVP de la semaine» à deux reprises. L'AO Kavala serait disposé à céder son joueur en cas d'offre intéressante. Les négociations devraient s'ouvrir rapidement.
FF | |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 5 Déc - 19:27 | |
| maréval a marqué pour zulte | |
| | | Suomi Poussin
Nombre de messages : 790 Age : 38 Localisation : Bordeaux - Chambéry (pour les études) Club et Joueur préférés : FCNA Supporter depuis : 2001 Date d'inscription : 08/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 5 Déc - 20:45 | |
| Da Rocha, le dernier héros nantais à avoir porté le maillot jaune et vert ! Un de ces joueurs qui m'a fait aimé le club et auquel je m'identifie à 100% puisque comme moi il est Bordelais d'origine mais Nantais de cœur. Il a débuté au SA Mérignac, le club de la ville ou j'ai grandi, avant d'arriver à la Jonelière. Ça fait plaisir de le voir s'engager dans un club amateur du 44 tant qu'il peut encore jouer | |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Lun 6 Déc - 5:25 | |
| - Suomi a écrit:
- Da Rocha, le dernier héros nantais à avoir porté le maillot jaune et vert ! Un de ces joueurs qui m'a fait aimé le club et auquel je m'identifie à 100% puisque comme moi il est Bordelais d'origine mais Nantais de cœur. Il a débuté au SA Mérignac, le club de la ville ou j'ai grandi, avant d'arriver à la Jonelière.
Ça fait plaisir de le voir s'engager dans un club amateur du 44 tant qu'il peut encore jouer son vieux pote savinaud aussi je crois ? | |
| | | Le Phénix - 17 ans
Nombre de messages : 14711 Age : 33 Localisation : Jur-Asik-Park Club et Joueur préférés : Barbapapa Date d'inscription : 18/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Lun 6 Déc - 8:23 | |
| - barbapapa a écrit:
- maréval a marqué pour zulte
C'est dans quel championnat ça? | |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| | | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Lun 6 Déc - 14:48 | |
| - Spoiler:
Vannes : Berson ressort du tunnel
Mathieu Berson (30 ans) est libre de tout contrat depuis son départ du Toulouse FC l'été dernier. Le milieu de terrain n'a pas réussi à trouver un nouveau club pour le moment.
Selon nos confrères de Ouest-France, l'homme formé au FC Nantes a accepté de s'entraîner quelques jours avec l'effectif du Vannes OC. A l'heure actuelle, il est difficile de savoir si oui ou non ce joueur expérimenté va accepter de signer un contrat en faveur du club de sa ville natale.
Topmercato
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Mar 7 Déc - 5:23 | |
| - Spoiler:
Besiktas : La chance d'El-Mourabet ?
A 23 ans, Karim El-Mourabet est au chômage depuis le mois de juillet dernier et la fin de son contrat professionnel avec le FC Nantes. A la recherche d'un nouveau challenge depuis, le natif d'Orléans, formé chez les Canaris et passé par Laval, en National, pourrait rebondir d'ici peu en Turquie. Selon Football.fr, le défenseur dispose actuellement de touches avec le Besiktas Istanbul, qui pourrait être tenté de lui offrir une chance de relancer sa carrière. Avant, peut-être, des signes de formations de Ligue 2 ou Ligue 1 ?
Foot.fr
| |
| | | Le Phénix - 17 ans
Nombre de messages : 14711 Age : 33 Localisation : Jur-Asik-Park Club et Joueur préférés : Barbapapa Date d'inscription : 18/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Mer 8 Déc - 21:49 | |
| Oliech qui a bien failli en planter 2 à Bernabeu | |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Ven 10 Déc - 4:57 | |
| - Spoiler:
Le défenseur dispute samedi son 300e match avec le club parisien dont il savoure le début de saison réussi...
«C’est sûr, j’ai vécu quelques saisons difficiles.» Quand il évoque ses 299 matchs sous le maillot du PSG, Sylvain Armand manie l’euphémisme. Arrivé de Nantes à l’été 2004 avec dans l’idée de flirter avec le titre et de prendre un abonnement en Ligue des champions, le défenseur a connu «six entraîneurs, six présidents, deux actionnaires» et surtout un nombre de crises incalculables. A la veille de disputer sa 300e rencontre («un signe de longévité et d'attachement à un club») avec le PSG, samedi à Valenciennes, Armand savoure enfin les joies de la tranquillité du côté du Camps des Loges. Malgré la deuxième place actuelle et les éloges sur le jeu de son équipe, Armand ne débouche pas encore le champagne, comme vacciné par cette capacité propre au PSG à tout gâcher. «Bien sûr, il y a de la confiance et la sérénité actuellement, observe le latéral gauche replacé en défense centrale cette saison, mais on sait qu’à Paris, on peut retomber dans des périodes de doute plus facilement que dans d’autres clubs.»
«J’ai gagné des titres avec le PSG» Un mot revient dans presque toutes les réponses du Parisien: «Plaisir». Cette année, Sylvain s’éclate. Faut-il comprendre que cela n’a pas toujours été le cas? «Je suis ici depuis bientôt sept ans et je ne regrette rien. J’ai gagné des titres avec le PSG et c’est tout ce que je retiens», plaide celui qui a soulevé deux Coupes de France et une Coupe de la Ligue avec son club d’adoption. Armand ose même évoquer – un peu – le titre de champion de France, dix ans après celui gagné avec Nantes. «Si on est dans encore dans le coup en mars, on ne va pas dire non.» Sous contrat jusqu’en 2012, Armand, trentenaire depuis le 1er août dernier, ne ferme pas non plus la porte à l’idée de finir sa carrière à Paris. «Pourquoi pas, c’est possible», laisse-t-il entendre. Possible, comme une saison réussie au PSG.
Source : 20min
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 12 Déc - 16:59 | |
| - Spoiler:
A 23 ans, Karim El Mourabet a été freiné dans sa carrière professionnelle. Au chômage depuis juillet dernier et la fin de son contrat avec le FC Nantes, l'international marocain se languit aujourd'hui de retrouver le goût de la compétition. L'ancien Bleuet dispose actuellement de quelques touches et espère pouvoir rebondir rapidement après une période délicate dans l'anonymat de l'Assedic.
Football.fr: Karim, quand avez-vous su que vous vous retrouveriez chômeur en juillet lorsque vous étiez au FC Nantes? Karim El Mourabet: En fait, je ne l'ai jamais vraiment su. Les dirigeants ne m'ont jamais rien dit en fait. Je n'ai jamais eu de discussion avec le président, le directeur sportif ou l'entraîneur, pour la simple et bonne raison que, pour qu'il y ait discussion, il faut qu'il y ait disposition des deux côtés. En face, je ne sentais rien. La saison dernière, avec Jean-Marc Furlan, on me faisait confiance et lui voulait me prolonger. Il a été viré trois mois plus tard, je n'ai plus joué avec Baptiste Gentili. J'ai eu l'occasion de discuter avec lui, il m'a dit que j'étais un bon professionnel, qu'il appréciait mon comportement car je ne cherche pas à faire de vague, je travaille dans mon coin, mais cela n'a rien changé à ma situation.
"Entre 2.000 et 3.000 euros par mois"
Ne croyez-vous pas que vous avez simplement payé le principe de dégraissage adopté par le FC Nantes? Si, c'est exactement ça. De toute façon, je suis arrivé dans la mauvaise période du FC Nantes et, quand on est un jeune joueur, c'est d'autant plus difficile de se faire connaître quand votre club est complètement instable. Le plan de carrière en prend un coup... En six saisons passées là-bas, j'ai dû connaître dix entraîneurs, des actionnaires différents, des présidents au nombre de trois il me semble... Sur le plan sportif, lors de ma première saison, on a failli descendre, on est tombé en Ligue 2 l'année suivante, il y a eu le feuilleton Barthez, puis toutes les histoires que l'on connaît... Et là, le club est dans une politique de dégraissage alors ils évitent autant que possible de prolonger les contrats qui se terminent.
Et depuis, vous n'avez pas réussi à vous relancer ailleurs... Oui, j'ai eu beaucoup de touches, pas mal de contacts en France et en Europe mais, pour des raisons diverses, rien n'a jamais abouti. J'ai passé plus d'un mois à l'essai dans un club israélien l'été dernier mais on ne s'est pas entendu pour le contrat. J'ai aussi failli signer à Colmar, en National, mais la DNCG n'a pas permis de concrétiser les choses. J'ai été en Bulgarie, dans un petit club de première division, mais je n'ai pas voulu signer car cela m'a paru trop "mafieux". Mais, même si je ne suis plus sous contrat depuis cinq mois, je m'entretiens, j'ai un préparateur physique personnel, je profite des installations d'Orléans, qui est en CFA, et j'attends de trouver une belle opportunité.
Le quotidien d'un chômeur dans le football professionnel, ça ressemble à quoi? Ce n'est jamais facile et, au début, j'ai à la fois bien et mal vécu cette situation. Ma chance, c'est que je suis très bien entouré. J'ai des parents exceptionnels, des frères et soeurs qui sont présents aussi et puis, je ne perds pas espoir car le téléphone continue de sonner. J'ai des pistes intéressantes en Turquie actuellement et j'ai bon espoir. Mais il ne faut pas croire que le football professionnel, c'est uniquement Cristiano Ronaldo et toutes ces stars. Moi, mon indemnité de chômage oscille entre 2.000 et 3.000 euros. Je sais que c'est déjà beaucoup d'argent car je n'ai pas oublié d'où je viens et je connais la valeur de l'argent, mais on est bien loin des millions d'euros qui sont brassés tout en haut de l'échelle. Et l'immense majorité des footballeurs est dans ma situation. Il ne faut pas croire que notre monde se résume aux stars. Elles, elles gagnent beaucoup d'argent, c'est tant mieux pour elles, mais ce n'est que la partie visible de l'iceberg.
"J'étais avec Gourcuff et "Lass" en Espoirs"
Craignez-vous pour la suite de votre carrière? On y pense, forcément, mais je suis de nature optimiste et, dans mon éducation, on m'a appris qu'il ne fallait jamais rien lâcher. Je n'abandonnerai pas et j'ai faim. J'ai envie de jouer, peu importe où, retrouver la saveur de la compétition, l'ambiance des vestiaires, ... Je suis jeune, je n'ai que 23 ans, je suis encore dans ce milieu avec l'envie d'apprendre. Je viens d'un milieu social pas forcément très facile, on ne m'a jamais rien donné, je sais ce que peut représenter le mérite.
Êtiez-vous préparé à affronter une telle situation? Quand on est un jeune joueur, qu'on signe son premier contrat professionnel dans son club formateur, on sait que tout cela existe, mais on n'est jamais vraiment préparé à faire face. Mais encore une fois, j'ai été bien entouré quand il le fallait et je n'ai pas perdu la motivation. Je pense que, quand on a 35 ans, qu'on est en fin de carrière, on ne vit pas les choses de la même façon, on est peut-être moins dans l'urgence. Moi, il y a quelques temps encore, j'ai été appelé en équipe de France Espoirs avec Yoann Gourcuff ou Lassana Diarra. J'ai aussi une sélection nationale avec l'équipe du Maroc. Les Lions de l'Atlas me manquent affreusement, je meurs d'envie d'y retourner... Mais il faut que je trouve un club rapidement.
En l'état, pensez-vous que votre situation puisse se débloquer rapidement? Oui, je pense que d'ici la fin de l'année 2010, j'aurai signé un nouveau contrat. Je l'espère en tout cas. Je discute régulièrement avec pas mal de monde en France mais mes contacts en Turquie sont assez avancés. On va voir ce que tout cela va donner. En tout cas, j'attends que cela se décante avec impatience. Jouer en Russie, aux Pays-Bas, peu importe où on me donnera ma chance, si les structures du club sont saines, tout comme l'entourage, alors je répondrai présent.
Football.fr
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Dim 12 Déc - 17:03 | |
| - Spoiler:
ACA-Lille : Piocelle-Landreau, sept ans après...
Issus du même moule footballistique, du côté de la Jonelière, à Nantes, Sébastien Piocelle et Mickaël Landreau auraient pu grandir ensemble sur la scène hexagonale du ballon rond. Le destin en a décidé autrement.
Tandis que le réservé "Micka" poursuit une carrière exemplaire dans la cage lilloise, 14 ans après ses débuts en Division 1, l'impétueux "Pio" se rappelle au bon souvenir de l'élite du foot français à l'AC Arles-Avignon après un exil transalpin (en Séries B et C) de quatre années au déroulement tortueux.
Samedi, au Parc des sports d'Avignon, à l'heure où le leader nordiste rendra visite à la lanterne rouge provençale, Piocelle et Landreau, Canaris de la "couvée Loïc Amisse" (promotion 1995-96), seront face à face pour la première fois depuis sept ans. Une éternité pour deux joueurs dont l'amitié a souffert de l'éloignement.
"Il fait partie de ces mecs que je suis content de revoir", glisse le capitaine provençal. "On s'était recroisé plusieurs fois, toujours avec plaisir", confirme le portier du Losc. Car s'ils ont porté le même maillot nantais pendant cinq ans et ont fait chambre commune dans l'équipe de France Espoirs de Raymond Domenech (1999- 2000), les deux coéquipiers sont devenus adversaires quand le premier a quitté les bords de l'Erdre pour rejoindre Bastia, en 2001.
C'est là, sur l'Ile de Beauté, que leurs chemins se sont croisés la dernière fois sur un rectangle vert. Nantes était venu s'imposer 3-1 à Furiani le 22 novembre 2003. "On les avait battus !" croit pourtant se souvenir Sébastien Piocelle, dont la mémoire chancelante, ou sélective, fait référence à la confrontation de la saison précédente, avec un score inversé...
En revanche, le capitaine du promu provençal n'a pas oublié les qualités qui ont amené son ami gardien de but jusque chez les Bleus. "Micka était très mature, raconte Piocelle. Quand Suaudeau l'a lancé dans le grand bain de l'élite, il y est resté. Les autres ont dû attendre Denoueix pour avoir leur chance. Il a été le fer de lance de notre génération."
"C'était quelqu'un qui avait du talent, assure Landreau en renvoyant la politesse. C'est sûr que s'il avait su se canaliser plus tôt, il aurait fait une autre carrière. Mais ce que je retiens de lui, c'est sa faculté à rebondir, ça démontre sa force de caractère."
Quand ils se retrouveront demain, peu avant 19 heures, dans le couloir menant à la pelouse, les deux hommes n'auront pas le temps d'évoquer les bons souvenirs. "Je lui dirai qu'ils ont encore le temps de gagner d'autres matches!" glisse Mickaël Landreau. "Je lui souhaiterai bonne chance... pour la suite de la saison", avance Sébastien Piocelle.
Source : Barbafoot
| |
| | | canari56 - 13 ans
Nombre de messages : 5636 Age : 44 Localisation : Vannes Club et Joueur préférés : nantes, vannes oc, loko, pédros, ouédec, ndoram, ferri, gourvennec, landreau, sibierski, fabbri, yepes, armand, toulalan, vahirua, carriére, moldovan, da rocha Supporter depuis : 1994 Date d'inscription : 14/05/2009
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Jeu 16 Déc - 18:35 | |
| - Spoiler:
Marama Vahirua, quels sont vos premiers souvenirs de footballeur à Tahiti ?
J'ai commencé à jouer à 4ans et demi avec mes cousins dans le club (ndlr : AS Central Sports) de mon grand-père, qui était président. Mon père était l'entraîneur. J'ai tout de suite baigné dans le football. C'est comme cela que ça a commencé. J'ai toujours été attaquant. Un moment je voulais être gardien de but mais mon père ne m'a pas laissé le choix. A l'âge de dix ans, je me suis dit que je pouvais devenir professionnel. C'était un but à atteindre. Aujourd'hui, j'ai réalisé mon rêve.
Est-ce que vous étiez un bon élève à l'école ?
J'étais très feignant. Je n'avais pas envie de travailler. Je voulais toujours jouer au foot. L'école n'était pas ma priorité. Les instits me disaient que le foot n'était pas un métier. Mais ça n'a jamais changé mon intention de devenir professionnel. Au contraire, je me disais que j'allais réussir.
Est-ce que le fait d'avoir votre oncle (ndlr : Pascal Vahirua) qui a fait une carrière professionnelle en France (Auxerre et Caen) vous a aidé à passer les étapes ?
Ça m'a motivé. Mes cousins me disaient de faire comme lui. Ça me motivait encore plus quand je le voyais à Telefoot tous les dimanches. On a une différence d'âge, on ne communiquait pas tout le temps. A l'époque, c'était cher pour appeler en France. Quand j'ai grandi, la comparaison a été difficile car tout le monde pensait que j'étais gaucher comme lui. Ça été dur de me faire ma propre image.
Pascal Vahirua a joué longtemps à Auxerre. Avez-vous eu l'occasion de faire un essai dans ce club ?
A 15 ans, j'avais fait un essai la bas. Celui-ci avait été concluant mais je ne voulais pas rester. Ça se passait en décembre et c'était la première fois que je venais en France. Il faisait trop froid. J'ai dis à Guy Roux que j'allais revenir. Il m'attend encore (rires).
Ensuite, vous intégrez le centre de formation de Nantes…
A mon retour à Tahiti, je m'étais dit que ça allait être difficile de revenir en France après mon expérience auxerroise. J'avais abandonné l'idée de devenir professionnel. Je voulais jouer au foot à Tahiti. Mais un ami de mon père, qui était une connaissance de Jean-Claude Suaudeau, nous a contactés pour que j'aille à Nantes. C'était le plus grand centre de formation de France. En juin 1997, je suis parti à Nantes. C'était l'été donc c'était mieux. Leur style de jeu me convenait plus. Mon premier stage a été concluant et ils ont voulu me garder. Comme ils ont parlé de contrat tout de suite, mon père a voulu assurer.
Comment avez-vous appris le jeu à la Nantaise ?
Les formateurs nous ont toujours inculqués ça. Ils t'apprenaient à toujours vivre ensemble. La bonne entente sur le terrain commençait en dehors. Ils avaient raison. Chaque année, ils ne changeaient pratiquement jamais le groupe. Ils voulaient garder les automatismes. Quand Nantes gagnait des titres, il y avait 80% des joueurs qui sortaient du centre de formation. Ils avaient joué une centaine de matchs ensemble. Aujourd'hui, ça fait bizarre de les voir en Ligue 2 mais ça fait partie de l'évolution. Chaque club passe toujours par une période difficile.
Comment se sont passés vos premiers entraînements avec Jean-Claude Suaudeau et Reynald Denoueix ?
C'était bizarre car lors de ma première année, je voulais rentrer à Tahiti. C'était ma seule envie. L'adaptation a été très difficile. J'ai souvent été puni par Suaudeau car je faisais n'importe quoi. Je faisais tout pour me faire virer. Par exemple, quand j'avais deux semaines de vacances, je revenais au bout d'un mois. Ils m'appelaient et me forçaient à me faire revenir. Ils me punissaient et je devais nettoyer les carreaux du centre. Mais j'ai discuté avec Denoueix et Amisse. Ils m'ont dit que si je progressais sur le terrain, j'allais devenir professionnel.
Quels souvenirs gardez-vous de Jean-Claude Suaudeau ?
Avec ce qu'il a fait, il force le respect. Il a une telle prestance. Donc tu l'écoutes malgré sa petite taille. Il était impressionnant. C'était le Dieu du football. C'était la bible. On ne pouvait rien lui dire.
En 2001, vous êtes devenu champion de France avec Nantes…
On était entraîné par Reynald Denoueix. C'était un très grand entraîneur. J'avais atteint mon objectif cette année là. C'était un rêve. J'avais été ému ce jour là.
A cette époque, vous avez commencé à fêter vos buts en mimant un pagayeur. Ce geste ne vous a jamais quitté depuis… Je le fais parce que c'est un clin d'œil à Tahiti et ma famille. Je le fais encore car c'est devenu ma marque. La première fois que je l'avais fait, ce n'était pas du tout prévu. Mais cela a eu un impact en France et à Tahiti. Tout le monde m'a dit que ça m'allait très bien. J'ai juste oublié de faire ce geste deux ou trois fois dans ma carrière. A Tahiti, je pagayais pas mal en pirogue pour aller à la pêche donc ça me rappelle aussi mes souvenirs.
Pourquoi Nantes a décliné après son titre de champion ?
Avec le titre, peut-être que le club a un peu trop dépensé. Au bout d'un moment, ils ont eu du mal à s'en sortir et ils ont du faire appel à quelque un de l'extérieur. Le club est devenu moins familial. En décembre 2001, les joueurs ne voulaient pas se séparer de Reynald Denoueix.
Après le titre vous aviez joué la Ligue des Champions. Quels souvenirs gardez-vous de cette épreuve ?
C'était énorme. On avait joué contre Manchester United. A l'époque, il y avait Fabien Barthez, Laurent Blanc et David Beckham. J'avais 21 ans et c'était un truc de fou. L'année d'avant, on était considéré comme la meilleure équipe de France. Mais en Ligue des Champions, on en avait pris cinq à Old Trafford. Ils nous avaient appris le football.
Vous avez côtoyé les Espoirs mais vous n'avez jamais joué en Bleus. Est-ce un regret pour vous ?
Oui et non. Il faut accepter quand il y a meilleur que soi. Mon objectif n'est pas d'attendre la liste des sélectionnés. Il faut jouer dans les meilleurs clubs ou marquer une quinzaine de buts chaque saison.
Après Nantes, vous êtes allé à Nice. Quels souvenirs gardez-vous de Frédéric Antonetti ?
Il m'a fait changer mon style de jeu. Il m'a dit qu'il me voyait plus en numéro 10 pour distribuer le jeu. Depuis, j'adore ce poste là. Je ne connaissais pas suffisamment l'homme mais sur le plan sportif, c'est un perfectionniste. Moi, j'étais trop cool, il essayait de me faire passer son message dans la tête avec un coup de massue. Dans le vestiaire, quand il pousse des coups de gueule, tu as envie d'être invisible. Comme on n'avait pas envie de se faire engueuler le dimanche ou le lundi, on donnait le maximum sur le terrain. C'est une façon de faire les choses. Mais moi, je n'étais pas fan.
Regrettez-vous de ne pas avoir joué dans des clubs plus huppés que Nice, Lorient ou Nancy ?
Je ne regrette pas mes choix. A Lorient, j'ai énormément appris. Sur le plan humain et sportif, mes choix sont tous positifs. Dans ma carrière, j'ai aussi fait ces choix pour le bien être de ma famille.
Souhaitez-vous poursuivre dans le football à la fin de votre carrière ?
Je suis en train de préparer ma formation pour être entraîneur. Puis j'ai trois garçons. J'espère qu'il y en aura au moins qui percera dans le football professionnel. Si je ne fais pas entraîneur, je pourrais devenir agent de mes fils.
Football365
| |
| | | barbapapa National
Nombre de messages : 47315 Age : 55 Localisation : Lourdes Club et Joueur préférés : La Sainte Nitouche Supporter depuis : 33 après JC Date d'inscription : 11/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Ven 17 Déc - 13:20 | |
| signorino rejoint charleroi (belgique) | |
| | | Le Phénix - 17 ans
Nombre de messages : 14711 Age : 33 Localisation : Jur-Asik-Park Club et Joueur préférés : Barbapapa Date d'inscription : 18/04/2007
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Sam 18 Déc - 17:55 | |
| | |
| | | Gotenian Poussin
Nombre de messages : 885 Age : 33 Localisation : Bourges Club et Joueur préférés : FCN, MU, Atlético / Moldovan, Rooney, Agüero, ... Date d'inscription : 02/08/2008
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? Sam 18 Déc - 19:53 | |
| | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Que sont-ils devenus ? | |
| |
| | | | Que sont-ils devenus ? | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|