Que sont-ils devenus ?

Les Girondins de Bordeaux devraient retrouver une vieille connaissance du championnat de France, mardi, à l'occasion du huitième de finale aller de la Ligue des champions qu'ils disputeront en Grèce, face à l'Olympiakos. Passé par Sochaux et Nantes notamment dans l'Hexagone, Jaouad Zaïri a posé ses valises au Pirée cet été, après avoir relancé sa carrière dans le championnat hellène sous les couleurs du modeste club de l'Asteras Tripolis. Une véritable revanche pour le Marocain dont la carrière commençait à s'essouffler.

On l'avait perdu de vue après son échec au FC Nantes, où il avait été prêté six mois lors de la deuxième moitié de la saison 2006-2007. Après seulement huit apparitions en L1 - dont quatre comme titulaire -, Jaouad Zaïri était reparti dans l'anonymat total à Boavista, où il avait signé à l'été 2006. A l'instar de Djibril Cissé ou de la légion francophone de Kavala, l'international marocain s'éclate désormais en Super League, l'élite grecque. Un championnat qu'il a rejoint il y a trois saisons et dans lequel il a fait ses preuves, au point de séduire l'Olympiakos.

La Grèce pour se relancer

Révélé à Sochaux, le milieu de terrain a quitté la France avec une étiquette d'un joueur à la technique au-dessus de la moyenne mais beaucoup trop individualiste. "Il est capable de dribbler cinq joueurs dans une cabine téléphonique, mais aussi capable d'oublier l'essentiel", avait ainsi déploré Guy Lacombe, son ancien entraîneur dans le Doubs, dans les colonnes de Ouest-France au moment de son arrivée à Nantes. Une réputation qui s'est arrêtée aux frontières grecques, le pays où le joueur a tenté sa chance lors de l'été 2007.

Après son expérience ratée à Boavista, Zaïri rejoint l'Asteras Tripolis, tout juste promu en Super League. Ses performances durant deux saisons sous les couleurs de cette modeste équipe vont taper dans l'oeil des grosses écuries locales, et c'est finalement l'Olympiakos qui arrachera sa signature lors du dernier mercato estival. Régulièrement aligné dans le onze de départ cette année, que ce soit en tant qu'ailier gauche ou droit, le Marocain pourrait débuter la rencontre contre les Girondins de Bordeaux. Une véritable renaissance pour Zaïri, auteur de deux buts cette saison en championnat, peut-être trop vite considéré comme un espoir déchu.

Zaïri : "Bordeaux, une belle affiche"

Âgé désormais de 27 ans, le joueur savoure pleinement sa revanche. Pour lui, qui a découvert la Ligue des champions cette année (il a disputé quatre matches lors de la phase de poules), cette rencontre contre Bordeaux promet d'être très accrochée, notamment du fait du niveau affiché par l'équipe de Laurent Blanc depuis le début de sa campagne européenne. "C'est un groupe de qualité avec un grand entraîneur.(...) Ça va être une belle affiche, tout le monde est très motivé, a-t-il expliqué sur le site Internet de RMC. Ça va se jouer sur des petits détails comme les coups de pieds arrêtés et on sait que Bordeaux est très bon dans ce domaine".

Le Lion de l'Atlas a également averti les champions de France qu'ils seront attendus de pied ferme au stade Karaiskaki, l'enceinte du club du Pirée, dont l'ambiance promet d'être électrique mardi soir: "C'est très chaud. Les supporters sont des fanatiques. Le public, pour nous, est notre douzième homme. On peut même faire basculer le sort d'une rencontre grâce à lui. C'est très impressionnant."Nul doute en tout cas que Zaïri aimerait bien se rappeler au bon souvenir des défenses françaises face aux Girondins. Planus et consorts sont prévenus.

Source : Barbafoot

Stade lavallois. Autour d'un terrain souvent, autour d'une table hier, Stéphane Moreau, directeur du centre de formation, et Bernard Mottais, responsable des U19, parlent foot et jeunes autour de mots-clés.

Jeunes

Stéphane Moreau : « Bien sûr que les jeunes ont évolué... Ils ont déjà le sentiment d'être grands. Notre rôle a changé, avec des fonctions socio-éducatives qui n'existaient pas trop auparavant. Dans le foot, ils voient tout ce qui brille. Pas forcément ce qu'il y a à côté. Tout est fait pour les déboussoler, mais le sport peut apporter des solutions. »

Bernard Mottais : « Nous avons un rôle d'éducateurs pour des jeunes ayant de moins en moins de repères. Leurs relations, leurs conduites parfois addictives, n'ont pas de sens. Je suis inquiet pour les dix années qui viennent. Nous ne devons pas les aider à se construire uniquement comme footballeurs. »

Qualités

Moreau : « Pour réussir, il faut le talent, l'intelligence, la mentalité, la santé... Le plaisir, la simplicité, comme le rappelait dernièrement Stéphane Pichot. »

Mottais : « Je mettrais la mentalité en premier. Des gars qui ont des qualités, on en a vu passer plein. Un garçon comme Anthony Gonçalves, lui, n'était pas le plus fort de sa génération au club. Peut-être le 5e, le 6e... Aujourd'hui il est pro. »

Formation

Moreau : « On n'est pas là pour gagner le championnat 16 ans, ou finir 3e en CFA2, mais pour faire progresser des gamins et les amener à devenir pro. Je ne vais pas prendre un grand costaud en me disant : il va nous donner un coup de main chez les jeunes. Et on ne laissera pas un gamin dans une situation de confort dans sa catégorie d'âge. Les Cronier, Karagiannis, Rose, Sahrane, tous U19, sont allés en CFA2 pour voir ce que c'était. Ensuite, ce qui est important, c'est d'avoir une identité, une philosophie de jeu partagée avec le staff pro. On l'a, à Laval. Ce n'était pas le cas à Nantes. »

Mottais : « Je ne devrais pas dire cela, mais pour moi la finalité n'est pas le haut niveau. Plutôt de faire en sorte qu'un gars soit bien dans sa tête. Si c'est le cas, il a dix fois plus de chances de progresser. On n'est pas là non plus pour péter les gamins. Dimanche, en Gambardella, nous avons préféré nous passer de Lindsay Rose parce qu'il souffrait des adducteurs. »

Détection

Moreau : « Les qualités techniques, tout le monde les voit. La maturité physique aussi, et ce peut-être un piège parce qu'un garçon peut être en avance, ou en retard. J'essaye plutôt de voir le caractère, l'intelligence de jeu. Coco Suaudeau (NDLR : entraîneur de Nantes) disait toujours : Mets un gamin dans un jeu, regarde où il court, où il va. Le foot, c'est un sport collectif animé par un jeu de passes. »

Mottais : « Nous remettons en place nos réseaux... Nous savons que nous n'aurons pas le 1er choix. Il va dans les clubs qui ont les plus gros portefeuilles, Rennes ou Lyon. Le 2e choix, c'est compliqué aussi. A nous d'être bons sur ce qui apparaît comme le 3e choix, et les locaux. »

Moreau : « Que les grands clubs continuent à s'intéresser aux grands gabarits. Ce n'est pas notre philosophie. On ne trouve pas non plus forcément mieux en allant à 600 km de chez soi. Dans l'équipe de Gambardella, 12 des 16 joueurs sont Mayennais. Il faut garder cette trame, et recruter 30, 40 % à l'extérieur. Délocaliser un gamin de 14, 15 ans, cela comprend des risques. »

Apprentissage

Moreau : « L'encadrement s'est nettement amélioré dans les écoles de foot. Cela a renforcé la qualité technique. Mais le côté foot de rue a disparu. Avant, tu jouais à la récré, à la fin des cours. Cela donnait une certaine spontanéité, une créativité. Aujourd'hui, certains sont formatés.

Vécu

Moreau : « Je pense que les joueurs du centre savent que j'ai été pro. Ça ne confère pas pour autant une légitimité. Si on est incohérent, ça explose. Mais ce passé me sert à savoir ce dont un gamin a besoin. »

Mottais : « Je suis très à l'écoute de ce que Stéphane peut dire. Je n'ai pas été pro, mais ça fait 15 ans que je suis avec les gamins. »

Moreau : « Elle est là, ta légitimité. La force d'un staff, ce sont ses différences. L'un gueule (« Moi » coupe Mottais), l'autre passe avec un autre ton. Si nous étions tous sur le même modèle, il y aurait des manques. Mais nous avons le même langage. »

Ouest-France

L'homme providentiel du FCL ?

Médecin du sport jusqu'en 1989, directeur d'entreprise dans le marketing sportif, puis dans la téléphonie mobile, président du club de foot de Lille en 2000-2001, intéressé au rachat du PSG, Luc Dayan s'est penché aussi sur les ennuis des clubs de basket tels Limoges, Paris, Antibes et a été le conseiller de Max Guazzini quand il cherchait à créer le Stade français.

Il était l'hôte, ce dernier dimanche, des coprésidents du FCL, Michel Crauste et Patrick Zerbini, ainsi que du manager général Philippe Rancoule. L'homme est fort connu dans le milieu du foot pour avoir travaillé au sein du Nantes FC, de Lille et actuellement du RC Strasbourg dont il est le président. Pour Luc Dayan : « Il faut restructurer le club, comprendre l'évolution du sport professionnel (médiatisation, arrivée d'argent) et se pencher sur la formation qui alimentera l'équipe fanion » à l'image du club de foot de Lille où Luc Dayan a mis en place une politique de formation très performante. D'où son ambition de construire un projet sur du long terme à l'aide de milieux économiques à trouver.

« PROFITER DE LA NOTORIéTé DE LOURDES »

Luc Dayan veut créer une académie du rugby à Lourdes, c'est-à-dire un centre de formation haut de gamme. Le FCL se doit de faire des efforts pour se moderniser, pour s'adapter au rugby qui se jouera dans cinq ans (perte d'identité) et se trouver en phase avec l'attente des supporters. Il faut pour cela créer un centre de formation avec des infrastructures qui seront réalisées par les collectivités locales. Le tout sous la responsabilité d'une Société anonyme sportive professionnelle (SASP) qui récupérera des fonds pour le fonctionnement de l'équipe première.

Il faut que le FCL profite de son centenaire, en 2011, dans un environnement équilibré et une validation par les gens du club, les élus et les partenaires économiques. Le rôle de Luc Dayan dans cette affaire ? Il sera un bénévole au service du club, n'envisageant rien pour un proche avenir du FCL car il ne possède pas de solution miracle. Son seul souhait, c'est de faire à Lourdes ce que les dirigeants ont réussi à mettre en œuvre à Auxerre. À savoir, faire preuve de patience pour amener à maturité les jeunes joueurs. Et d'ajouter : « Il faut profiter de la notoriété de Lourdes, qui reçoit plus de 6 millions de visiteurs. D'où l'importance de vendre le nom et la culture aux sponsors nationaux ou parisiens ».

Le discours de Luc Dayan est intéressant et nous rappelle fortement les prises de position, en leur temps, d'André Montoya et Jean-Pierre Mir sur la formation. Restent à trouver les lieux, les hommes… et les jeunes rugbymen. L'avenir nous dira si ce projet est réalisable, même à long terme.

La Dépêche

Eric Carrière

Que pensez-vous de la situation du FC Nantes, votre club formateur ?
Le FCNA a beaucoup changé depuis quelques années. Quand j'y étais, on était encore dans un club qui jouait beaucoup sur la formation. C'est largement moins le cas maintenant. En terme de résultats, c'est compliqué cette saison. Les changements d'entraîneurs ne sont pas évidents à gérer. On va bientôt jouer contre eux. Je suis très heureux d'y aller, ça va me rappeler de très bons souvenirs. Aujourd'hui, il y a beaucoup de personnes qui sont parties. Je pense que le dernier qui mettait l'accent sur les résultats et la formation, c'était Reynald Denoueix.

Son départ a-t-il tout changé à Nantes ?
Grandement. Mais avec les présidents, un peu particuliers, qui ont suivi et les choix à propos du centre de formation, les résultats d'aujourd'hui sont logiques. On voit de moins en moins de jeunes Nantais sortirent du centre de formation. Mais ce n'est pas facile de mettre l'accent sur la formation parce que maintenant, les jeunes joueurs, même à 13 ou 14 ans, il faut les acheter. C'est ce qui a changé depuis dix ou quinze ans. Il faut donc trouver les bonnes personnes, les bons éducateurs et mettre les moyens. Ça me touche de voir le club dans cette situation comme ça m'embêtait de voir Lens en Ligue 2.

Football365

Mamadou Bagayoko est resté aux soins hier matin. La faute à une douleur à l’épaule tenace depuis un choc avec Audard, le gardien lorientais, samedi soir. Une blessure qui ne devrait toutefois pas l’empêcher d’être aligné contre Lyon. Et c’est une bonne nouvelle pour le Gym tant le retour de l’attaquant face aux Lorientais après deux mois de suspension a été prépondérant dans la victoire de son équipe.

Après une première période difficile (« comme tous les joueurs, j’étais un peu crispé par l’enjeu, le contexte.. »), le Malien a été éblouissant en deuxième mi-temps. Avec une autre paire de chaussures (« le terrain était un peu gras, j’ai remplacé mes moulés par des vissés, c’était beaucoup mieux pour les appuis »). Percutant, il a pesé sans cesse sur la défense bretonne, a provoqué le penalty décisif et a distillé quelques caviars pour Rémy.

Sincèrement, même s’il a participé à la CAN, on n’attendait pas le joueur à ce niveau pendant 90 minutes après une si longue période sans compétition.
« Je reconnais que j’ai eu des crampes en fin de match... Mais, malgré ma suspension, j’ai toujours bien travaillé à l’entraînement. Et à la différence de certains, je n’ai pas besoin de trop pousser pour retrouver le rythme. »

Quoi qu’il en soit, Mamadou est revenu et Nice a gagné en se procurant une foultitude d’occasions. Pendant son absence, le Gym n’avait pas gagné un match, concédant trois nuls et cinq défaites.

« On est encore fragile »

Et si Bagayoko était le porte-bonheur ? Son retour dans le onze de départ lors de la 10e journée contre Lyon (4-1) avait déjà coïncidé avec une bonne période niçoise. Il n’a été que dix fois titulaire cette saison mais lors de ces dix rencontres, Nice s’est imposé cinq fois pour un nul et quatre défaites. Son ratio points/matchs joués (1,6) est le meilleur de tout l’effectif.

Est-ce un signe ? Baga sourit à l’évocation de ces chiffres mais il préfère revenir sur le bienfait qu’a procuré à son équipe le succès contre Lorient (1-0).

« C’est un soulagement. Pour nous, pour le coach, c’était important. Mais on n’est pas sorti d’affaire, on est encore fragile. On veut confirmer contre Lyon, avec le même état d’esprit. »

Le Malien, comme toute l’équipe, n’a pas très bien vécu les remous de la semaine dernière. Mais, pour lui, le changement d’entraîneur n’est pas la solution : « Il ne faut pas attendre un changement de coach pour se retrousser les manches ! J’ai vécu ça avec Nantes la saison dernière (Baup avait remplacé Der Zakarian après l’intérim Larièpe, ndlr) et on est descendu ! Même si le groupe, ici, a beaucoup plus de qualités, il ne faut pas perdre de temps. La semaine dernière, j’ai beaucoup parlé avec mes partenaires. C’est mon rôle, je suis l’un des plus anciens. Il était hors de question de se laisser aller ! »

Et Nice ne s’est pas laissé aller. Nice a relevé la tête. Pourvu que ça dure !

Source : Nice Matin

Retour aux sources pour Klasnic ?

Prêté par le FC Nantes aux Bolton Wanderers, Ivan Klasnic ne sait toujours pas où il évoluera lors du prochain exercice.

Auteur d’une saison moyenne du côté de la Premier League (6 buts inscrits en 17 matches), l’international croate songe à un retour au FC Sankt Pauli, club où il a passé sept saisons entre 1994 et 2001. « J’ai toujours dit que je reviendrais un jour ou l’autre » a déclaré l’attaquant de 30 ans dans les colonnes de France Football. Pensionnaire de la deuxième division allemande, le club d’outre-Rhin est actuellement à la lutte pour la montée en Bundesliga.

Foot Mercato

Du plein-temps au néant. Des spots de la Beaujoire à la lumière tamisée de l'infirmerie. Titulaire indéboulonnable, malgré quelques cabrioles de mauvais aloi, durant les quatorze premières journées de la saison 2008-2009, Michael Gravgaard a depuis disparu des écrans radar.

Un passage chaotique du côté de Hambourg (Allemagne), émaillé de railleries, puis une vilaine blessure au pied l'ont fait tomber à la rubrique « Que deviens-tu ? »

Au point de s'interroger sur la suite à donner à sa carrière. « C'est ma dernière chance, avouait-il mi-janvier. Si je ne suis pas revenu d'ici trois ou quatre mois, le foot, ce sera fini pour moi. » Fort heureusement, le glas ne sonnera pas. Enfin par pour lui.

« Cela va mieux, mais j'ai encore besoin de temps, indique l'affable et cultivé Danois, dans un français de plus en plus soutenu. J'ai fait un peu d'entraînement ces derniers temps, je vais voir comment les choses évoluent. Si tout se passe bien, j'espère disputer une partie du match de la CFA 2, samedi prochain (au Poiré-sur-Vie, N.D.L.R.). » Le reste attendra.

Le rêve du Mondial

« La Ligue 2 ? Il est trop tard pour prétendre pouvoir finir la saison, explique-t-il. Mais, pourquoi pas jouer quelques matches ? Le but aujourd'hui est de retrouver mon niveau de jeu. Je veux surtout essayer d'aider l'équipe. C'est possible ! »

Car à l'image de Stéphane Darbion (lire nos éditions de dimanche), l'international rêvant toujours de sélection - « Ce sera très dur, mais c'est peut-être ma dernière chance de disputer la Coupe du monde » - est sans concession sur la situation des Canaris, 15es, quatre points seulement devant Châteauroux (18e).

« Il faut se parler »

« Aujourd'hui, c'est l'urgence ! assène Gravgaard, d'habitude mesuré. C'est, comment vous dites ici (il mime un gyrophare, en faisant « pin-pon »)... C'est l'ambulance, c'est très grave. C'est à la vie à la mort. »

« J'ai longtemps discuté avec Baptiste Gentili (lire également nos éditions d'hier). Dans les situations difficiles, il faut se parler. Ici, il y a une grande histoire, les gens sont attachés au club. Si je ne joue pas, je vais essayer de m'adresser aux joueurs, d'apporter mon expérience. »

« Michael peut être un leader, grâce à son passé, acquiesce l'entraîneur. Tous les deux, on dit la même chose. Il est important, aujourd'hui, dans le groupe. » Quitte à assener de dérangeantes vérités.

« Soyons honnêtes : nous jouons mal, lance l'ancien joueur de Copenhague. On prend un but et ensuite c'est la catastrophe ! On manque de sérénité. Il reste douze matches, nous devons, au moins, en gagner trois ou quatre pour se sauver. Il ne faut penser qu'à cela. »

Que le nouveau héraut soit entendu.

Etienne Kiss, Presse-Océan