Que sont-ils devenus ?

Sans club depuis son départ du FC Nantes (2008-2009), Elie Baup aurait été approché par la fédération algérienne pour prendre en main la direction des Fennecs.

C’est du moins ce qu’affirme le technicien français dans les colonnes de France Football. Baup y explique qu’on lui aurait proposé de prendre le relais de Rabah Saâdane, mais il aurait décliné l’offre.

Ce dernier aurait également été approché par les fédérations ivoirienne et saoudienne. Même réponse négative, le coach à la casquette ne souhaitant pas prendre en main d’équipe nationale. « La Côte d’Ivoire m’a appelé, mais je n’ai pas donné suite. Il y a eu aussi l’Algérie et l’Arabie Saoudite », précise Baup.

Si les Eléphants n’ont jamais caché qu’ils cherchaient un successeur à Eriksson, les Algériens en revanche semblaient jusqu’ici vouloir reconduire Saâdane dans ses fonctions. Les propos d’Elie Baup viennent contredire cette version et laissent donc penser que le technicien algérien ne devrait pas rester à la tête des Verts.

Africafoot

Eric Djemba-Djemba refait surface

Formé au FC Nantes, Eric Djemba-Djemba a rejoint le prestigieux club de Manchester United avant de connaître une véritable descente aux enfers. Après avoir atterrit à Aston Villa puis à Burnley en prêt, il va même s’expatrier au Qatar l’espace d’une saison. Recruté par le club d’Odense il y a deux saisons, il est rapidement devenu indispensable à la formation danoise.

Mais alors qu’il évoluait dans un certain anonymat du côté du Danemark, le milieu camerounais pourrait rejoindre dans les prochains jours un club plus huppé. Selon la presse grecque, il serait très proche de rejoindre l’Olympiakos. Très ambitieux, le club du Pirée vient de s’offrir les services de Dennis Rommedahl (ex-Ajax), Francois Modesto (ex-Monaco), Kevin Mirallas (ex-ASSE) et Ariel Ibagaza (ex-Villarreal). Un bon moyen de revenir sur le devant de la scène pour l’ancien Nantais aujourd’hui âgé de 29 ans.

Foot.fr

Amical. Angers-Nancy, ce soir (18h) à Sarzeau (56). David de Freitas dispute en Bretagne son deuxième match avec le Sco. Un club qu'il a rejoint pour les trois prochaines saisons.

En trois ans sous le maillot du FC Nantes, David De Freitas aura tout connu : des joies, des peines, des déceptions et des désillusions. C'est donc sans trop de regrets qu'il a quitté une équipe, dont l'entraîneur ne lui faisait, de toute façon, plus confiance. A Angers, il arrive en terrain conquis. « On le suit depuis plusieurs années mais on attendait la bonne opportunité, précise Olivier Pickeu, le manager général du Sco. Entre David et le club, c'était devenu une évidence. Il a cru en notre projet et nous sommes très heureux de l'avoir avec nous. »

Sollicité par d'autres écuries de Ligue 2 et par des formations étrangères, David De Freitas n'a pas hésité bien longtemps avant de rejoindre les bords de la Maine. « Lors de ma dernière saison à Nantes, j'ai voulu tout arrêter en France et rejoindre un championnat étranger, raconte-t-il. Le projet du Sco m'a redonné envie. La Ligue 1, je connais, mais je suis venu ici pour la découvrir avec Angers. » Ses premières impressions sont d'ailleurs très positives. « Tout a été fait pour que je m'intègre bien et je suis agréablement surpris par la qualité du jeu et du coach. J'ai vraiment envie de réussir de belles choses avec le Sco. »

Une intégration réussie

Première recrue de l'intersaison, David De Freitas a vu avec satisfaction d'autres joueurs de renom arriver. « Je ne suis pas venu à l'aveugle, je savais ou le club allait et ça ne me faisait pas peur. » Dans l'effectif, il s'est déjà fait sa place. Et se permet quelques taquineries. « Olivier Auriac, je le connais, il m'avait couru après lorsque Nantes avait joué Angers pour avoir mon maillot. Je savais qu'il m'aimait bien (rires). Ca va être la première année que je ne vais pas avoir un grand costaud à mes côtés. »

Auteur lors de sa première saison nantaise de quatre buts et neuf passes décisives, il aimerait faire aussi bien en 2010-2011 mais reconnaît que « ce n'est pas le plus important. Le collectif passe d'abord. » Trois semaines après son arrivée, il connait déjà les vertus d'Angers Sco.

Ouest-France

M. Landreau : "Je ne regrette rien"

Même s’il a quitté les Canaris depuis plusieurs années, Mickaël Landreau a toujours le FC Nantes dans un coin de sa tête. Cela ne l’empêche de s’investir pleinement sous les couleurs du LOSC :

« Je me serai bien vu rester à Nantes et y faire toute ma carrière. Mais je ne regrette rien de ce que j’ai fait ensuite en terme d’expérience, d’ouverture. Sans les problèmes qui sont survenus, je ne serai pas parti. Je suis toujours le club même si je connais de moins en moins de monde. On ne peut rester aussi longtemps dans un club sans y être attaché. Cela est indélébile. Mais aujourd’hui, rien ne peut transparaitre de cet aspect. Quand je m’investis, je le fais à fond. »

Source : Barbafoot

Vahirua : "Apporter de la technique"

Après trois années passées du côté du FC Lorient, Marama Vahirua a décidé de changer d'air en débarquant à l'AS Nancy Lorraine. Unique recrue nancéenne en vue de cet exercice 2010-2011, le Tahitien espère bien apporter de la vivacité et de la percussion au sein du collectif de Pablo Correa. Entrevue.

Marama, qu'est ce qui vous a décidé à quitter Lorient pour Nancy ?
Les dirigeants ont su me convaincre. Il y a déjà le fait qu'ils soient arrivés les premiers, dès le mois de décembre. Ils m'ont fait une offre très tôt, ça a été important. Je n'ai pas hésité très longtemps.

Y a-t-il eu une tentation de resigner à Lorient ?
Oui, évidemment. Mais il est aussi évident que d'un point de vue financier, Lorient ne pouvait pas s'aligner face à la proposition de Nancy. Il n'y a pas eu de souci sur ce côté-là. Vis-à-vis de Lorient en tout cas.

Marseille s'est également un temps renseigné...
Oui, Marseille était intéressé, mais je n'ai jamais eu d'offre réelle. J'ai préféré assurer le coup en signant à Nancy au lieu d'attendre et puis finalement perdre Nancy.

Comment se sont passés vos premier pas à Nancy ?
Ça s'est très bien passé. Pour commencer, je connaissais déjà Damien Grégorini dans l'équipe. En passant par lui, ça a facilité les choses. Mais en même temps, l'ambiance est tellement bonne qu'il n'y a pas eu de souci. Ils m'ont accueilli très rapidement et tout s'est déroulé très simplement.

Comment se déroule la préparation estivale ?
C'est plus costaud qu'à Lorient. C'est une question d'adaptation. La première semaine a été très difficile pour moi mais ensuite, ils ont réussi à adapter le travail pour moi et moi à m'adapter au travail.

Et vos premières impressions après les matches amicaux ?
Elles sont bonnes. Franchement très bonnes. En même temps, on a fait des matches amicaux pour prendre la température. Tout s'est très bien passé, et il faut voir maintenant ce que ça va donner en championnat.

Dans quel rôle allez-vous être utilisé ?
Normalement, je devrais évoluer en deuxième attaquant, en soutien de l'attaquant.

Vous avez découvert vos partenaires, quels seront les atouts de Nancy cette saison ?
On connaît déjà l'image du club. Très physique avec un jeu assez basé là-dessus. C'est pour cela que, de mon côté, je vais essayer d'apporter une touche de technique. Grâce à ça, on va essayer de jouer au football un peu plus. On va essayer d'allier le physique à la technique, de faire un tout.

Quel sera l'objectif du club ?
L'objectif, c'est de rester au plus haut niveau évidemment. En ce moment il y a des difficultés dans tous les clubs, donc on va essayer de terminer le plus haut possible pour essayer de ramasser le plus d'argent possible (rires) !

Vous parlez d'Europe entre vous ?
Bien sûr que non. Un club comme Nancy ne peut pas se permettre de dire: "On va jouer l'Europe cette saison". On a eu beaucoup d'exemples où les équipes ont annoncé la couleur et puis à la fin de saison, c'était une toute autre chose.

Et plus personnellement, vous vous êtes donné des objectifs chiffrés?
Non, personnellement, j'espère faire aussi bien que l'année dernière en tout. Voire même mieux. Je me casse pas la tête avec ça.

Pour finir, ce contrat est-il le dernier avant de revenir à Nantes ?
(rires) Je ne sais pas. Pour moi franchement, si un jour Nantes m'appelle avec l'envie de remonter le club, il n'y aura pas de souci sur ce côté-là. Mais pour le moment, je suis nancéien, et je le suis à fond.

Source : ???